Près d’une semaine après l’annonce de l’arrestation de plusieurs militaires soupçonnés de trafic d’armes au bénéfice du banditisme et de l’extrême-droite, le ministère des Armées reste incroyablement silencieux.
La ministre est absolument silencieuse et interrogé en point presse le 15 janvier, le nouveau porte-parole a refusé de commenter.
Ces faits manifestent pourtant une tendance de fond inquiétante dont l’envahissement du Capitole à Washington est le symptôme le plus évident : partout, l’extrême droite s’arme.
Le gouvernement ne devrait pas par son silence minimiser cette menace qui pèse sur la paix civile et la démocratie.