En ce 1er mai, je suis dans la rue, avec mes camarades de La France insoumise, avec les syndicats, pour la journée internationale de lutte pour les droits des travailleurs.
« La liberté, c’est l’enfant de la classe ouvrière », disait Jean Jaurès. Nos libertés, nos droits, ont été conquis de haute lutte par les travailleurs et les travailleuses. Aujourd’hui, comme à chaque 1er mai, c’est ce combat du mouvement ouvrier en France et dans le monde que nous commémorons, et que nous nous engageons à poursuivre.
A l’heure où Macron et son gouvernement poursuivent leur offensive antisociale, s’attaquant à l’assurance chômage et aux droits à la retraite, comme ils s’en sont pris hier au droit du travail, la lutte est plus que jamais à l’ordre du jour. Le combat pour la réduction du temps de travail et pour les droits des travailleurs est une cause plus vivante et ardente que jamais. Nous défendrons l’idéal d’une société plus juste et égalitaire, jusqu’à ce que viennent les jours heureux et le goût du bonheur.
