Ce jeudi 29 juillet, marque le jour du dépassement : à 5 mois de la fin de l’année, l’humanité a déjà épuisé l’ensemble des ressources naturelles que la planète peut régénérer en un an. En 1970, c’était le 29 décembre.
Le mode capitaliste de production et de répartition des richesses qui domine aujourd’hui toute la planète n’est pas compatible avec la survie de la vie sur terre. Il épuise la nature et détruit l’environnement au nom de la seule loi qu’il connaisse : celle du profit de quelques uns. Ça ne peut plus durer. Entre le capitalisme et la survie de l’humanité, il faut choisir.
Nous n’avons plus le temps. C’est la grande cause et l’ardente obligation de notre génération et de notre temps : Organisons la bifurcation de notre mode de production et de nos sociétés, passons à la planification écologique. Affranchissons-nous de la loi du profit ; elle est mortifère. Un seul impératif doit nous guider : L’harmonie des êtres humains entre eux et avec la nature.
