Après un 3ème référendum organisé dans un calendrier qui a conduit à son boycott, il faut en finir avec les coups de force du gouvernement.
Dans cette intervention je défends une position claire : refuser le passage en force du gouvernement et privilégier le consensus dans l’esprit de l’accord de Nouméa. Il faut recréer les conditions d’un dialogue apaisé entre toutes les parties prenantes et laisser les Néo-Calédoniens décider de leur avenir dans un cadre légitime et reconnu par tous.
Nous réaffirmons le droit à l’autodétermination des peuples !