Le projet de loi constitutionnel sur la modification du corps électoral en Nouvelle-Calédonie signe l’échec du gouvernement à aboutir à un accord global.
Ce passage en force est inadmissible. Il sort du rôle impartial que l’Etat devrait avoir.
Nous demandons le retrait du texte.
Nous demandons que Gerald Darmanin, discrédité, soit dessaisi du dossier et qu’il soit traité par le Premier ministre, au niveau que le sujet mérite.
Nous demandons l’envoi d’une mission de dialogue pour que les acteurs parviennent à un accord global sur l’avenir institutionnel.