Deux ans après le démantèlement du camp du square Forceval entre Aubervilliers et Pantin, le problème du crack est toujours là.
Les tensions et les nuisances continuent au quotidien, à La Villette comme à Rosa Parks. Rien n’a changé.
Pourquoi ? Parce que l’État refuse d’agir sérieusement.
Cela fait des années que nous dénonçons son inaction. La solution est pourtant connue : des moyens médico-sociaux massifs pour accompagner les consommateurs et garantir la sécurité des riverains. Mais à la place, l’État se contente de gesticulations inutiles.
C’est intolérable.
Les habitants ont droit à la tranquillité et à la sécurité. Les consommateurs doivent être soignés et accompagnés. L’État doit prendre ses responsabilités immédiatement.