L’OMJA en danger : une menace pour la jeunesse d’Aubervilliers

L’Organisation en Mouvement des Jeunesses d’Aubervilliers (OMJA), institution phare de la ville depuis 75 ans, est aujourd’hui gravement menacée par la politique de la municipalité dirigée par Karine Franclet. Cette attaque met en péril l’accompagnement éducatif et les opportunités offertes aux jeunes d’Aubervilliers. Un appel d’offres inquiétant Le 12 novembre dernier,

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L’Organisation en Mouvement des Jeunesses d’Aubervilliers (OMJA), institution phare de la ville depuis 75 ans, est aujourd’hui gravement menacée par la politique de la municipalité dirigée par Karine Franclet. Cette attaque met en péril l’accompagnement éducatif et les opportunités offertes aux jeunes d’Aubervilliers.

Un appel d’offres inquiétant

Le 12 novembre dernier, la mairie d’Aubervilliers a lancé un appel d’offres qui modifie profondément le périmètre et les missions de l’OMJA. Les jeunes de 11 et 12 ans, habituellement accompagnés dans les maisons de jeunes, seraient renvoyés vers des centres de loisirs élémentaires, un cadre inadéquat pour leurs besoins spécifiques.

De plus, l’appel d’offres pourrait confier les activités de l’OMJA à des structures extérieures qui ne disposent ni de l’expérience ni de la culture éducative qui ont fait la réputation de l’organisation. Une décision qui s’apparente à un démantèlement programmé.

Une institution menacée par la droite municipale

L’OMJA, avec son riche héritage d’éducation populaire, est un pilier de la vie albertivillarienne. Elle a accompagné des générations de jeunes, leur offrant un espace d’épanouissement, de formation et de solidarité. Cette nouvelle attaque de la municipalité de droite s’inscrit dans une série de décisions remettant en question les acquis sociaux et culturels de la ville.

Une mobilisation citoyenne

Face à cette menace, la résistance s’organise. Plus de 2 000 habitants et habitantes d’Aubervilliers et du départementont déjà signé une pétition pour défendre l’OMJA. Vous pouvez également vous mobiliser en signant ici : Sauvons les 6e et 5e de l’exclusion des maisons de jeunes.

J’interpelle directement la maire Karine Franclet : il est encore temps de renoncer à cet appel d’offres et de préserver l’OMJA, symbole de la richesse éducative et culturelle de notre ville. La jeunesse d’Aubervilliers mérite bien mieux que cette désinvolture.

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