La Seine-Saint-Denis connait aujourd’hui le 2ème plus fort taux d’incidence du pays. Depuis le début de la pandémie de COVID-19, notre département est le plus touché. Depuis le début, notre département souffre des errements dans la gestion de crise du gouvernement.
Deux mois après le début de la campagne de vaccination, notre département souffre encore d’un retard inquiétant.
Il n’y a pas assez de doses de vaccins et de rdv disponibles.
De nombreuses villes, Epinay-sur-Seine, Bagnolet, Noisy-le-Sec, l’Ile-Saint-Denis, Stains, n’ont pas de centre de vaccination de proximité.
Les dispositifs permettant d’aller vers les populations les précaires, qui souffrent de la fracture numérique et du manque d’accès au soin, sont insuffisants.
L’ouverture d’un vaccinodrome au stade de France risque d’être contreproductive, aspirant des ressources au détriment des dispositifs visant les populations fragiles et isolées
C’est pourquoi, nous lançons une pétition pour demander à l’État
Des livraisons de vaccin à la hauteur de la circulation du virus dans notre département
Le renforcement du maillage des centres de vaccination de proximité
Le développement des initiatives d’« allers-vers » les populations les plus fragiles, isolées ou ne pouvant se déplacer
Une initiative de nos chef·fes de file insoumis de Seine-Saint-Denis Raquel Garrido et William Martinet, et des élus insoumis du Conseil départemental Nadège Abomangoli Silvia Capanema et Pierre Laporte.
