J’étais bien entendu aujourd’hui aux côtés des habitants d’Aubervilliers et de Pantin venus par centaines, des collectifs SOS 4 Chemins et 93 Anticrack mobilisés, des élus des deux villes, au-delà de nos différentes sensibilités, pour dire que nous ne voulons pas d’une politique qui se résume à déplacer le problème du crack en Seine-Saint-Denis au mépris des habitants des Quatre Chemins, et sans accompagnement sanitaire et social.
Je n’ai cessé d’interpeler les pouvoirs publics. Qu’attend l’État pour agir ? Soignez-les ! Protégez-nous !