Pendant que Jean-Luc Mélenchon est en Guyane et assiste à un nouveau succès d’Ariane 5, je me suis rendu au 72ème congrès astronautique international organisé par l’IAF.
Après Washington en 2019, il a lieu cette année à Dubai et l’an prochain à Paris.
Je suis intervenu devant des collègues parlementaires du monde entier pour défendre l’idée d’une planification spatiale dans le domaine de la santé. Des institutions internationales montrent déjà la voie comme le CNES et l’ONUSAT.
Je suis honoré de m’exprimer dans un panel d’aussi haut niveau :
- Josef Aschbacher, directeur général de l’Agence spatiale européenne (ESA)
- Sergio Freitas de Almeida, ministre brésilien de l’innovation
- Christina Giannopapa, conseillère du directeur général de l’ESA.J’ai également pu m’entretenir avec le représentant du CNES aux Émirats.
L’espace est un sujet qui transcende bien des intérêts particuliers. C’est un levier essentiel pour une diplomatie de paix et de coopération.
La belle devise (en latin) de l’IAF, la fédération astronautique internationale « la science astronautique pour la paix et le progrès humain »
