Hier, la justice a donné raison au collectif Sauvons les jardins ouvriers d’Aubervilliers : aux jardins ouvriers d’Aubervilliers les travaux destructeurs doivent s’arrêter.
Cette décision donne raison aux militants et aux militantes écologistes engagés pour la défense des jardins ouvriers. Elle confirme ce qu’ils et elles ne cessent d’affirmer : il est possible de construire une piscine et une station de métro, qui profiteront aux habitants et habitantes, sans détruire les jardins ouvriers, espace naturel unique et si rare à Aubervilliers. C’est une victoire pour celles et ceux qui se sont battus depuis des mois, face à l’indifférence et au mépris des décideurs impliqués le projet.
Et pourtant, aujourd’hui le chantier continue. Et j’apprends qu’une militante membre du collectif est en garde à vue, sans raison valable. Elle venait s’assurer de l’arrêt des travaux après la décision de justice. Plein soutien ! Les intimidations doivent s’arrêter. Le scandale doit cesser.
Communiqué 
