J’étais ce samedi 17 avril à la manifestation organisée par le collectif Sauvons les jardins ouvriers d’Aubervilliers, avec mes amis de La France insoumise – Aubervilliers et Pantin l’insoumise. Nos camarades Raquel Garrido et Bally Bagayoko étaient avec nous. De très nombreux habitants et militants d’Aubervilliers, de toute la Seine-Saint-Denis et de Paris avaient répondu présents, pour envoyer un message clair : non aux bétonneurs, non à la destruction des jardins ouvriers d’Aubervilliers.
J’ai interpellé il y a plusieurs mois l’ensemble des acteurs du projet d’aménagement, pour appuyer les revendications du collectif mobilisé et leur demander de revoir le projet en garantissant la préservation intégrale des jardins. J’ai reçu peu de réponses. Le comité d’organisation des Jeux Olympiques m’a répondu en forme de fin de non recevoir. La Solideo, Grand Paris Aménagement, ou encore Plaine Commune n’ont pas jugé bon de répondre. La société SPIE Batignolles, chargée du chantier, m’a dit être ouverte au dialogue, à la condition que la ville d’Aubervilliers, donneur d’ordre, le souhaite. J’ai donc interrogé la maire Karine Franclet, le 23 mars dernier. Je n’ai pas eu de réponse à ce jour.
Seule la mobilisation les fera bouger. Il faut donc continuer à soutenir le collectif Sauvons les jardins ouvriers d’Aubervilliers. Ensemble, continuons à défendre les Jardins ouvriers d’Aubervilliers.
Lire la réponse de Tony Estanguet à mon courrier :
Lire la réponse de Spie Batignolles :
Lire le courrier de relance à Karine Franclet, maire d’Aubervilliers :
